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Pourquoi Nous N’aimons Pas le Mot « Régime » (Ni Son Concept)

  • jessicabsb
  • 20 janv.
  • 3 min de lecture


Le mot « régime » est omniprésent dans les conversations sur la santé, la perte de poids et l’alimentation. Pourtant, ce mot nous agace fortement au Petit Club Des Débutants! Pourquoi ? Parce qu’il véhicule des idées qui, à notre sens, vont à l’encontre d’une démarche saine, durable et bienveillante envers soi-même. Voici pourquoi nous n'aimons pas le mot « régime » et pourquoi nous préférons des approches plus équilibrées comme le rééquilibrage alimentaire.


1. Le régime évoque la privation


Quand on parle de « régime », on pense immédiatement à des restrictions. Certains aliments deviennent « interdits » ou « mauvais », tandis que d’autres sont tolérés en petites quantités. Cette mentalité de privation crée un rapport malsain avec la nourriture :

  • Frustration : Se priver d’un aliment que l’on aime génère du stress et de la frustration.

  • Compulsions : Plus on se prive, plus la tentation grandit. Résultat, on finit souvent par craquer.

  • Culpabilité : Manger un aliment « interdit » est vécu comme un échec, ce qui peut affecter l’estime de soi.

Manger ne devrait jamais être synonyme de frustration ou de culpabilité.


2. Le régime est souvent temporaire


Un régime est, par définition, une solution à court terme. Il promet des résultats rapides, mais rarement durables :

  • Effet yoyo : Les kilos perdus sont souvent repris dès que l’on reprend ses anciennes habitudes.

  • Démotivation : Les efforts fournis pendant un régime sont souvent intenses et difficiles à maintenir sur le long terme.

  • Illusion de réussite : On associe souvent la réussite au chiffre sur la balance, mais qu’en est-il du bien-être global ?

Le problème avec les régimes, c’est qu’ils ne changent pas en profondeur notre rapport à la nourriture ni nos habitudes de vie.


3. Le régime est synonyme de contrôle extrême


Les régimes sont souvent accompagnés de règles strictes : peser les aliments, compter les calories, respecter des horaires précis… Ce contrôle excessif peut rapidement devenir étouffant.

  • Perte de spontanéité : Manger devient une corvée au lieu d’être un plaisir.

  • Stress : La peur de dévier des règles peut générer de l’anxiété.

  • Déconnexion : On cesse d’écouter les signaux naturels de faim et de satiété.

Au lieu de nous reconnecter à notre corps, les régimes nous en éloignent.


4. Le régime nourrit une culture de la perfection


Le mot « régime » est souvent associé à l’idée qu’il faut changer son corps pour être « mieux », « plus mince » ou « parfait ». Cela alimente une culture de la comparaison et de l’insatisfaction :

  • Pression sociale : On veut ressembler à des modèles irréalistes véhiculés par les médias.

  • Manque d’estime de soi : On se sent constamment en quête d’un idéal inaccessible.

  • Objectifs superficiels : L’apparence prend le pas sur des notions plus importantes comme la santé ou le bien-être.

Or, chaque corps est unique, et il n’existe pas de standard universel de beauté ou de santé.


Ce que nous préférons au « régime » : le rééquilibrage alimentaire


Plutôt que de suivre un régime, optons pour une démarche plus douce et bienveillante : le rééquilibrage alimentaire. Voici pourquoi :

  • Pas de privation : Tous les aliments ont leur place, à condition d’être consommés dans des proportions adaptées.

  • Durabilité : Il s’agit d’adopter des habitudes que l’on peut maintenir toute la vie.

  • Écoute de soi : On apprend à reconnaître sa faim, sa satiété et ses envies, sans culpabilité.

  • Focus sur le bien-être : L’objectif n’est pas seulement de perdre du poids, mais de se sentir mieux, plus énergique et en paix avec son corps.


Repenser notre rapport à l’alimentation


En rejetant le mot « régime », nous choisissons une vision plus positive de l’alimentation. Manger est un acte essentiel, qui devrait être source de plaisir, de vitalité et de convivialité. Il est temps de laisser derrière nous les diktats restrictifs et de redonner à la nourriture sa juste place dans nos vies.

Et si on arrêtait de penser en termes de privation pour adopter une approche basée sur l’équilibre et la bienveillance ? Après tout, la vraie réussite n’est pas d’atteindre un objectif temporaire, mais de trouver une manière de vivre qui nous fait du bien, jour après jour.


Alors, oubliez le mot « régime » et vivez pleinement. 😊

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